Voilà bientôt 2 semaines que le centre PMF de Tolbiac est bloqué par un groupuscule d'agitateurs grévistes s'auto-proclamant représentants des étudiants.
Le totalitarisme stalinien des troupes de Tolbiac n’en est pas à son coup d’essai, chaque année la nébuleuse du Komsomol (dirigé par l'UNEF, suivi par ses larbins de SUD, CNT, etc) prend les étudiants de tolbiac en otage sous un prétexte totalement fallacieux. Le RED dénonce vigoureusement ces méthodes dictatoriales qui nuisent aux étudiants voulant poursuivre leurs études dans des conditions normales. Plus scandaleux encore, l'administration de Paris 1 se contente de communiqués laconiques pour expliquer la fermeture de Tolbiac, ou plus récemment, de la Sorbonne. Ce silence serait-il un cautionnement de ces agissements?
Le RED exige que le président de l'université prenne ses responsabilités, et fasse appliquer la loi:
- Nous voulons l'évacution immédiate de Tolbiac par l'intervention des forces de l'ordre.
- Nous voulons que les agitateurs et les casseurs gauchistes passent en conseil de discipline.
- Nous voulons que les groupuscules étant à l'origine de ces troubles soient condamnés à payer les dommages causés par leur occupation, ainsi que des intérêts qui serviront à améliorer les conditions de travail des étudiants (plus de personnel de sécurité).
Seules ces initiatives fermes permettront aux étudiants de pouvoir étudier dans des conditions normales. Et, par mesure de prévention, il est impératif que, comme le RED le proposait dans son programme aux éléctions de Novembre 2005, un contrôle des cartes soit effectué à l'entrée de Tolbiac, les instigateurs de ces prises d'otages se verront ainsi refuser l'entrée à Tolbiac.
Etudiants, il est temps d'agir!
Vous devez massivement envoyer le mail type qui suit à Pierre-Yves.Henin@univ-paris1.fr président de notre université:
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Monsieur le président,
depuis le 23 février, le centre PMF est occupé par une minorité d'étudiants imposant sa volonté à une majorité d'étudiants désireuse de poursuivre ses études dans des conditions normales. A cette date, vous n'avez toujours rien fait pour mettre un terme à cette situation intolérable. Les étudiants souhaitant suivre leurs cours n'ont pas la possibilité de s'exprimer lors des AG organisées par les syndicats agitateurs, contrairement à ce que ces derniers prétendent. Le nombre de cours déjà manqué étant un handicap sérieux pour ma formation universitaire, je me tourne vers vous afin que vous fassiez le nécessaire en vue d'une reprise des cours le plus rapidement possible.
Veuillez agréer, Monsieur le président, l'expression de ma considération distinguée.
X, étudiant en Xe année de...
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Etudiants, n'hésitez pas à faire appel au RED! red.paris1@wanadoo.fr Tenez-nous au courant des réponses qui vous seront faites, et rapportez-nous tous les abus dont vous êtes témoins!